Drapeau du Tibet
Voici un magnifique et émouvant reportage sur le Tibet, avec de merveilleuses photos et dessins.
Il m'est possible de vous le faire admirer grâce à l'aimable autorisation de François Xavier Prévot. ( François-Xavier PRÉVOT, Photographe Marseille )
La Lumière du Tibet n'en finit pas de vaciller dans les Ténèbres de la folie chinoise.
Monastères truffés de caméras et de micros, policiers
chinois déguisés en moines, moines fonctionnaires payés par le gouvernement
chinois, sherpas qui dénoncent, pour quelques yuan, leurs voisins tibétains
candidats à l'exil, adolescents tibétains qui s'enrôlent dans l'armée chinoise…
Business in Tibet
"90% des tibétains ignorent tout de la situation réelle de leur pays, de sa culture et de ses traditions. Certains croient même que le Dalaï-Lama est mort", m'affirme Konchok, un des nombreux "Trekking-Guides" tibétains, liens indispensables entre touristes en quête de dépaysement, agences de voyages gouvernementales corrompues et administration chinoise paranoïaque.
"Éduqués" (dans le sens le plus chinois et donc le plus terrifiant du terme) depuis la première invasion chinoise de 1951, les Tibétains, y compris dans le Tibet profond, à deux jours de cheval et de marche, vous repèrent, même de très loin, et vous interpellent, de plus en plus appauvris, à coups d'inlassables et parfois virulents "Hé, hé, money, money !".
Dans le vieux Lhassa, la capitale du Tibet définitivement devenue ville chinoise, et qui n'a plus aucun rapport avec la "Cité Interdite" d'Alexandra David-Neel, autour du Palais du Jokhang, la seule partie de la ville épargnée par la folie chinoise, tout est à vendre.
En vous joignant aux Tibétains qui effectuent leur "Kora" quotidienne (circambulation autour d'un monument sacré) et en faisant fi des soldats chinois, vous pourrez même à la fois prier... et faire vos courses !
Moulins à prières actionnés par énergie solaire, faux bijoux en plastique imitation corail, turquoise ou ambre, et même, pourquoi pas, future épouse : Mise à prix 50.000 yuan, environ 7.600 Euros.
Oubliés, mantras, malas et moulins à prière : Le seul
vrai Maître ici, c'est Saint-Yuan, l'unique monnaie chinoise. Sorti de la ville
et de tous ses 4x4 climatisés avec autoradio CD conduits par les Chinois, osez
vous faire inviter dans une tente de nomades.
Quant aux monastères, toutes leurs entrées sont payantes et si vous voulez prendre une photo...vous devrez la payer aussi.
Big Brother au Pays des Neiges Éternelles
Lhassa, Palais du Potala, ancienne
résidence de Sa Sainteté le 14° Dalaï-Lama. Tarif de l'entrée : 15 euros. Les
touristes du monde entier, devancés par leurs guides, se pressent dans les
couloirs sombres et étroits du monument sacré le plus visité du Tibet.
Quelqu'un, derrière vous, ne manque jamais de vous bousculer, le regard
méprisant, pour vous passer devant : Un chinois qui a vite fait de vous faire
comprendre qu'il est ici chez lui et que l'envahisseur, c'est vous.
La visite continue. L'appareil photo reste en bandoulière : à 15 euros la taxe pour la moindre prise de vue, on réfléchit à deux fois. N'espérer même pas déclencher votre appareil en toute impunité : Au Potala comme ailleurs, toutes les salles sont truffées de caméras, de micros et la plupart des moines sont "fonctionnaires", payés par le gouvernement chinois pour vous suivre partout du regard et faire respecter les interdictions.
La visite continue. L'appareil photo reste en bandoulière : à 15 euros la taxe pour la moindre prise de vue, on réfléchit à deux fois. N'espérer même pas déclencher votre appareil en toute impunité : Au Potala comme ailleurs, toutes les salles sont truffées de caméras, de micros et la plupart des moines sont "fonctionnaires", payés par le gouvernement chinois pour vous suivre partout du regard et faire respecter les interdictions.
Et si vous voulez monter sur le toit du Potala pour
admirer la vue sur Lhassa, ville chinoise sans âme et défigurée, aux avenues
larges et buildings immenses façon Pékin ou Shangaï, gardez votre porte-monnaie
ouvert : Ce sera 2 euros de plus.
Tout en haut du monument, c'est par
valises entières, au vu et au nez de tous les touristes que, deux par deux, les
Chinois ramassent le butin. Une affaire qui tourne...
A Shigatsé, deuxième ville du Tibet, comme à Lhassa, beaucoup
sont des policiers-espions déguisés en moines. Difficile de s'y retrouver.
Encore plus dur : Essayer de se poster dans les angles morts de deux caméras
pivotantes pour "voler" une photo "choc". A Norbulinka, l'ancienne résidence d'été du Dalaï-Lama, les Chinois se frottent les mains quand l'ancienne baignoire ou le divan de Sa Sainteté débordent des offrandes que déposent là les Tibétains, en signe de dévotion pour leur chef spirituel.
Il faut dire que partout au Tibet, c'est le racket permanent, organisé par la "Mafia" gouvernementale chinoise.
Micros cachés à l'appui, chaque parole est elle aussi surveillée : le mot "Dalaï-Lama", par exemple, ("Tête de Serpent" pour les chinois, charmant surnom) est un "écart de langage" sévèrement réprimé au Tibet et puni par la prison. Comme toute photo ou image le représentant.
150 euros la vie d'un tibétain
Neuf
heures du matin, Tingri, sud du Tibet, 4.400 mètres d'altitude. Une
demi-journée de jeep du premier camp de base de l'Everest, à 5.200 mètres.
Moins
de 3 degrés et le vent polaire de l'Himalaya qui vous transperce déjà le corps
et l'âme.
Tout de suite accueillis par une serveuse tibétaine "aux
ordres", quelques soldats chinois entrent se réchauffer dans le restaurant
"Guest House" le plus fréquenté de cette ville-dortoir, la plupart du
temps pour y jouer aux cartes et miser de l'argent par liasses entières, en
riant bruyamment.
Tout en mangeant des "momos" (sorte de gros raviolis fris) ou de la "tubka" (soupe tibétaine), on se croirait revenu en France sous l'occupation allemande.
Tout en mangeant des "momos" (sorte de gros raviolis fris) ou de la "tubka" (soupe tibétaine), on se croirait revenu en France sous l'occupation allemande.
Sur les murs noirs de suie, une affiche décolorée au
papier glacé, écrite en anglais, symbole à elle seule du mensonge et de la
manipulation chinoise: "1951-2001 : 50 ans de Libération Pacifique du
Tibet".
Après quelques verres de thé salé au beurre rance de yak, les confidences matinales sur ton feutré commencent. Konchok, guide tibétain qui a passé, comme beaucoup, plus d'un an dans les prisons chinoises, accepte enfin de me traduire une fois les soldats repartis.
Après quelques verres de thé salé au beurre rance de yak, les confidences matinales sur ton feutré commencent. Konchok, guide tibétain qui a passé, comme beaucoup, plus d'un an dans les prisons chinoises, accepte enfin de me traduire une fois les soldats repartis.
La nuit dernière, au col du Choyu, une des plus hautes montagnes du
monde, sept tibétains, qui essayaient de fuir par la frontière
tibéto-népalaise, ont été assassinés par les soldats chinois, alertés par des
sherpas népalais en quête d'un peu d'argent.
C'est que là-haut, à plus de 6.000 mètres d'altitude, certains népalais et chinois "travaillent" main dans la main: 1.000 yuans de récompense (moins de 150 euros) pour chaque tibétain dénoncé. Pire, certains ados tibétains, engagés dans l'armée chinoise pour y gagner une maigre solde, se retrouvent là, en plein Himalaya, à devoir tirer sur leurs frères de sang. On se souvient alors que dans chaque pays envahi naissent toujours des résistants et des "Collabos".
Tout le monde ici semble fermer les yeux sur de telles atrocités car nul ne veut finir en prison et préfère oublier, le soir venu, en regardant des vidéos chinoises de Jacky Chan (surnommé "ké-ké" par les tibétains), ou d'improbables soaps genre "Côte-Ouest" version indienne.
A minuit, le groupe électrogène s'arrête faute d'essence. Plus de pétrole, plus de vidéo.
Dans les arrière-boutiques des gargotes locales ou des salons de coiffure transformés en bordel pour l'occasion, même les prostituées chinoises et les prostituées tibétaines (payées deux fois moins) vont se coucher.
C'est que là-haut, à plus de 6.000 mètres d'altitude, certains népalais et chinois "travaillent" main dans la main: 1.000 yuans de récompense (moins de 150 euros) pour chaque tibétain dénoncé. Pire, certains ados tibétains, engagés dans l'armée chinoise pour y gagner une maigre solde, se retrouvent là, en plein Himalaya, à devoir tirer sur leurs frères de sang. On se souvient alors que dans chaque pays envahi naissent toujours des résistants et des "Collabos".
Tout le monde ici semble fermer les yeux sur de telles atrocités car nul ne veut finir en prison et préfère oublier, le soir venu, en regardant des vidéos chinoises de Jacky Chan (surnommé "ké-ké" par les tibétains), ou d'improbables soaps genre "Côte-Ouest" version indienne.
A minuit, le groupe électrogène s'arrête faute d'essence. Plus de pétrole, plus de vidéo.
Dans les arrière-boutiques des gargotes locales ou des salons de coiffure transformés en bordel pour l'occasion, même les prostituées chinoises et les prostituées tibétaines (payées deux fois moins) vont se coucher.
Les sons
hurlant de kung-fu amplifiés par le vent et les montagnes immenses
environnantes se taisent
Le calme pourrait enfin revenir sur Tingri, étape obligée
vers l'Everest.
C'est oublier que des dizaines de chiens errants vont hurler
à la mort toute la nuit, relayés à l'aube par les moteurs des centaines de
camions et de 4x4 qui assurent la jonction Lhassa, capitale du Tibet et
Katmandou, capitale du Népal.
Au petit matin, dans le Tibet dévasté, ce ne sont que villes-fantômes, poussière et désolation.
Au petit matin, dans le Tibet dévasté, ce ne sont que villes-fantômes, poussière et désolation.
Entre 4.500 et plus de 5.000 mètres d'altitude,
perchés sur les plus hautes montagnes du monde, seuls subsistent quelques
villages de paysans tibétains, regards profonds et sourire toujours lumineux,
entourés de monastères dynamités ou détruits à coups de bazookas par
l'envahisseur.
Seule note de poésie dans ce tableau d'Apocalypse de Toit du Monde : Entre les pierres sans âge des ruines rongées par le froid et l'altitude, contre vents et marées, poussent, silencieux, des bouquets de jolies petites fleurs bleues, des myosotis, dont le nom anglais est : "Forget me not" (ne m'oubliez pas).
Seule note de poésie dans ce tableau d'Apocalypse de Toit du Monde : Entre les pierres sans âge des ruines rongées par le froid et l'altitude, contre vents et marées, poussent, silencieux, des bouquets de jolies petites fleurs bleues, des myosotis, dont le nom anglais est : "Forget me not" (ne m'oubliez pas).
Partout ailleurs, la misère.
Partout, des centaines
d'enfants livrés à eux-mêmes portant le petit dernier sur le dos, pieds nus,
noirs de poussière, les yeux brûlés par le soleil, qui vous tirent le bras et
vous implorent, espérant quelques yuans.
Marché financier d'un milliard et demi de chinois oblige, le
sort du Tibet n'intéresse toujours pas, plus de 70 ans après, les grandes
puissances mondiales.
Qui, aujourd'hui, est ému par la cause tibétaine ?
A
moins d'un miracle - et il faut continuer de croire aux miracles - le Tibet
sera bientôt entièrement rayé de la carte dans un silence assourdissant.
A force de stérilisations, avortements forcés et d'une colonisation chaque jour
plus grande (les Chinois représentent plus de 70 % de la population), les
Tibétains sont depuis longtemps une minorité dans leur propre pays.
Aucun des Tibétains rencontrés au Tibet ne connaît le concept de "Tibet-Libre".
Aucun des Tibétains rencontrés au Tibet ne connaît le concept de "Tibet-Libre".
La plupart sont nés dans un pays déjà occupé par
l'envahisseur Chinois. "Free-Tibet" restera peut-être, pour certains,
en Occident, un idéal purement philosophique en décalage avec la réalité du
terrain.
Dalaï-Lama, reviens vite, ils sont tous devenus fous.
Dalaï-Lama, reviens vite, ils sont tous devenus fous.
N'attendons plus d'être vaincu pour changer.
Le
hasard n'existe pas.
Les raisons de l'invasion du Tibet par la Chine sont
le résultat de plusieurs facteurs qui s'additionnent.
Politiques et historiques, d'abord : Le Tibet, n'a-t-il pas, lui aussi, annexé
dans le passé une partie de la Chine ?
Stratégique, ensuite : Qui s'approprie le Toit du Monde espère bien dominer le monde.
Économiques, enfin : Le mot "Tibet", en langage Han, signifie "Maison des Richesses de l'Ouest" (De "l'ouest" de la Chine).
Stratégique, ensuite : Qui s'approprie le Toit du Monde espère bien dominer le monde.
Économiques, enfin : Le mot "Tibet", en langage Han, signifie "Maison des Richesses de l'Ouest" (De "l'ouest" de la Chine).
Confiscation de gigantesques réserves d'eau (cette ressource du 21°
siècle), déforestation massive, exploitation à grande échelle des ressources
pétrolières avec la construction d'un pipe-line de 4.200 km reliant la Chine au
Tibet (cautionné en partie par BP France), des ressources minières (or, lithium
et uranium), le Tibet est en passe de devenir la poubelle à déchets nucléaires
de la Chine, polluant en même temps quelques-uns des plus grands fleuves de la
planète, qui prennent leur source en Himalaya (Indus, Gange, Brahmapoutre, Yang
Tsé Kyang), menaçant ainsi tout ou partie de l'Asie.
Mais au delà des causes tangibles de cette invasion et
de cette gigantesque catastrophe écologique passée sous silence, il en est une
autre (moins connue sans doute) tant symbolique qu'humaine et spirituelle : La
fermeture trop longue du Tibet sur le reste du monde.
En effet, qui se
ferme prétend se protéger. Mais qui se protège s'enferme et se sépare.
Et qui se sépare est, à terme, condamné à souffrir et à mourir.
Le peuple
tibétain en fait plus que jamais encore l'intolérable et insupportable
expérience, lui qui, fort d'un passé qui se perd dans la mémoire du temps, ne
s'est ouvert officiellement au monde qu'au début des années 80 pour préserver,
coûte que coûte, son patrimoine et ses traditions multimillénaires.
Les Chinois n'ont pas pris la peine de frapper doucement à cette porte close : Ils l'ont fracassée et mis en marche un génocide de plus.
Il aura fallu l'invasion chinoise du Tibet pour que le bouddhisme tibétain sorte enfin de ses frontières.
Et, comme le dit le Dalaï Lama : "Si les chinois n'avaient pas envahi le Tibet, nous n'aurions pas pu développer la Compassion."
Les Chinois n'ont pas pris la peine de frapper doucement à cette porte close : Ils l'ont fracassée et mis en marche un génocide de plus.
Il aura fallu l'invasion chinoise du Tibet pour que le bouddhisme tibétain sorte enfin de ses frontières.
Et, comme le dit le Dalaï Lama : "Si les chinois n'avaient pas envahi le Tibet, nous n'aurions pas pu développer la Compassion."
De l'utilité
d'aimer son "ennemi" pour développer l'Amour ?
N'attendons plus d'être vaincus pour changer : Si nous n'allons pas de nous-mêmes vers le changement, individuellement et collectivement, tôt ou tard, le changement ira à nous, brutal, implacable.
N'attendons plus d'être vaincus pour changer : Si nous n'allons pas de nous-mêmes vers le changement, individuellement et collectivement, tôt ou tard, le changement ira à nous, brutal, implacable.
Heureusement, le Tibet c'est aussi :
✔ Oser lancer un défi à cheval aux nomades des hauts
plateaux et s'arrêter enfin, transi, haletant et heureux dans un village à
4.800 mètres d'altitude pour boire du "Tchang" (bière fermentée).
S'entendre dire, tout haut : "C'est moi, je reviens à la
maison..."
✔ Dormir à la belle étoile à 5.200 mètres d'altitude, manger de la "tsampa" (farine et eau) au diner et une cuisse de mouton crue en guise de petit-déjeuner, tout en buvant une gorgée brûlante de thé rance pour essayer de faire passer le tout.
✔ Profiter d'une insomnie pour confirmer les hypothèses des astronomes : Notre galaxie, la Voie Lactée, a vraiment une forme de spirale !
✔ Offrir son thermos tout neuf et son stick lèvres coefficient 20 à une jeune paysanne partant pour la journée récolter des bouses de yak séchées pour le feu de la maison familiale.
✔ Partager sa tablette de chocolat noir 70% de cacao avec les orphelins des rues à 3 heures du matin.
✔ Danser le " Kazatchok " avec des bottes de nomades sur la place principale de Lhassa devant la foule hilare.
✔ Chanter "Les moulins de mon cœur", de Michel Legrand, avec des Chinois et des Tibétains (pour une fois réunis) à l'occasion de la fête de la pleine lune, dans le dernier resto branché du vieux Lhassa.
✔ Le cerveau mal oxygéné, imaginer l'ascension prochaine d'un sommet himalayen tout en relisant "Tintin au Tibet", page 39, et verser une larme d'émotion à l'exclamation du Capitaine Haddock : "Et dire qu'il y a des gens qui font ça par plaisir...".
✔ Dormir à la belle étoile à 5.200 mètres d'altitude, manger de la "tsampa" (farine et eau) au diner et une cuisse de mouton crue en guise de petit-déjeuner, tout en buvant une gorgée brûlante de thé rance pour essayer de faire passer le tout.
✔ Profiter d'une insomnie pour confirmer les hypothèses des astronomes : Notre galaxie, la Voie Lactée, a vraiment une forme de spirale !
✔ Offrir son thermos tout neuf et son stick lèvres coefficient 20 à une jeune paysanne partant pour la journée récolter des bouses de yak séchées pour le feu de la maison familiale.
✔ Partager sa tablette de chocolat noir 70% de cacao avec les orphelins des rues à 3 heures du matin.
✔ Danser le " Kazatchok " avec des bottes de nomades sur la place principale de Lhassa devant la foule hilare.
✔ Chanter "Les moulins de mon cœur", de Michel Legrand, avec des Chinois et des Tibétains (pour une fois réunis) à l'occasion de la fête de la pleine lune, dans le dernier resto branché du vieux Lhassa.
✔ Le cerveau mal oxygéné, imaginer l'ascension prochaine d'un sommet himalayen tout en relisant "Tintin au Tibet", page 39, et verser une larme d'émotion à l'exclamation du Capitaine Haddock : "Et dire qu'il y a des gens qui font ça par plaisir...".
"Il vaut mieux allumer une Bougie que maudire
l'obscurité". Proverbe chinois
Photos et Textes : © 2015 François-Xavier PRÉVOT - Croquis de Voyages du Tibet :
Kaori PRÉVOT SAKUMA - Reproduction interdite -
Cet article a été publié dans les Magazines
"Samsara" et "Bouddhisme Actualités", ainsi que sur de
nombreux sites, dont Epoch Times, version française du Journal
Epoch Times présent dans 35 pays en 25 langues et distribué à plus d’1,5
million d’exemplaires hebdomadaire à travers le monde, ainsi qu'en version
papier de Epoch Times à Montréal -
Mes Photos du Tibet : Là où la
Terre discute avec le Ciel
Mon Diaporama sur le
Tibet en ligne sur YouTube
04 91 71 96 41
Belles photos !
RépondreSupprimerLe problème du Tibet n'est pas celui que l'on croit forcément, mais c'est une autre affaire...
Bises
Merci de ton comm. J'aimerai que tu nous fasses un post sur le BBB, cela permettrait à nous tous de bien comprendre... (avec les "frasques" du Dalaï Lama) ;)
SupprimerBises
Quel plaisir de revoir ce genre de paysages en photos . Mais il est préférable de vivre ces clichés où la fraicheur du vent vous renvoie au début du monde.
RépondreSupprimerMerci de ce petit retour sur le toit du monde.
Les / 3
Aux 3 ♥ regarde les liens des photos de François Xavier, tu vas te régaler, ce sont splendeurs.
Supprimerquand ch'rai grande j'irai là-bas! (enfin c'est un de mes rêves...)
RépondreSupprimermerci pour le voyage virtuel!
Gwen26
Merci Gwen d'être passée par là ;) tu as plein de belles photos sur mon blog, que j'ai fait lors de mes voyages, Chine, Cambodge, Thaïlande, Inde.... ;)
SupprimerQuand j'étais plus jeune le bouddhisme me passionnait énormément, les paroles de sagesses du Bouddha sont vraiment extraordinaire...
RépondreSupprimerLa destruction du Tibet et de sa culture est un theme qui dégoute de l'humanité.
Qu'y a t'il de bon a sauver quand on voit cela ????? ;-(
Comme le massacre des indiens d'Amazonie qui se poursuit encore aujourd'hui...
POURQUOI ON LES LAISSE PAS VIVRE COMME ILS VEULENT ??? GRRRRR!!!
Désolé chère Danysis, de m'énerver ! ;-/
C'est toi qui est parti la bas ?
Hélas pas moi !
SupprimerTu as raison, bien trop de peuples du monde sont sacrifiés au Sacré Profit...
Alors que Terre Mère nous offre la gratuité de tout , et les énergies comprises.