lundi 9 janvier 2017

Quelle est l’origine réelle de vos douleurs ?



Comprendre le lien entre la colonne vertébrale et vos autres organes.



Vous avez surement remarqué que vos problèmes de dos influent directement sur les autres  parties du corps y causant douleurs et dysfonctionnements.
Dans ces cas là, on traite en général le mal ... sans soigner la causeet donc sans obtenir de véritable guérison.

( de Danysis - C'est ce qui fait la richesse des laboratoires pharmaceutiques, qui nous "tuent", voir 


  Il faut donc s’intéresser de près à la colonne vertébrale.

En apprenant les connections entre la colonne vertébrale et les différents organes du corps, on peut déterminer le problème réel,  en précisant le point douloureux sur la colonne, et le soigner à l’origine.


L’origine réelle de vos douleurs 



Le schéma ci-dessus montre les liens entre chaque organe et la colonne vertébrale. 

En associant le point douloureux à l’organe , on peut ainsi guérir le problème à la source. Par exemple les ostéopathes déclarent que 70%des maux de tête proviennent de la colonne vertébrale.

L’origine réelle vos douleurs  : 

Les douleurs dans la partie thoracique de la colonne vertébrale peuvent indiquer un problème gastrique ; intestinal  ou cardiaques

Les problèmes  dans la partie lombaire de la colonne ne touchent pas uniquement le bas du dos, mais peuvent se révéler aussi par des douleurs de la cuisse, de la hanche et peuvent même nuire à  la marche en modifiant la sensibilité au niveau des jambes.

D’autres problèmes de santé, tels que les bourdonnements d’oreilles, les  difficultés à avaler la nourriture, et des troubles de la vision peuvent provenir d'une atteinte de la paroi d'un disque intervertébral.




En conclusion, entretenir sa colonne vertébrale et la renforcer, permet de prévenir et d’éviter beaucoup de problèmes avec les autres organes du corps.


La douleur : définition
Comment cela fonctionne-t-il ? (Danysis ; en court )

Physiologiquement, notre système sensoriel décode les informations qui permettent de détecter les dangers présents ou potentiels. 
Il s’agit de la douleur sensation physique ou perception corporelle.

Ce système de décodage permet au corps d’analyser les caractéristiques de la douleur (élancement, brûlure, lourdeur, décharge électrique…), mais aussi sa topographie, son intensité, son type et sa durée. 
C’est le désagrément qui rend la douleur pénible et nous pousse à l’éviter.

Cette pénibilité détermine le seuil de la douleur. 
Ce seuil est très variable d’un individu à l’autre et aussi dans le temps pour un même individu. 
Lorsque l’on se brûle la main par exemple, le retrait automatique est immédiat et protecteur. Il n’est pas conscient ; c’est un système de protection.
L’information devient consciente une fois parvenue au cerveau. 


La neurophysiologie a permis de démontrer que les influx nerveux électriques et les mécanismes de contrôle de la douleur sont effectués en grande partie par le cerveau. L’intégration de la douleur au niveau du cerveau va entraîner des réactions physiologiques et comportementales.

La douleur et ses composantes

La douleur a plusieurs composantes ; 
- physique,
- sensorielle,

mais aussi

- cognitive (les pensées, les croyances, les interprétations de la douleur…), 
- comportementale (ce que l’on fait ou ne fait pas pour lutter contre la douleur…) 
- et émotionnelle (colère, tristesse, non-acceptation…). 

Le cerveau va mémoriser toutes les expériences de douleurs ainsi que leurs circonstances d’apparition.

Ces expériences douloureuses mémorisées vont permettre à l’organisme de se protéger à MIEUX VIVRE AVEC UNE DOULEUR

Voir aussi complément détaillé  en fin !

  Trouvé en français



 Petit complément ,  détaillé ! 



DONC, La douleur, c'est quoi  au juste ?

La douleur est difficile à définir car elle est personnelle et subjective : tout le monde possède les mêmes mécanismes de déclenchement de la douleur, et cependant, chacun la ressent différemment.
La douleur fait partie du système de défense de l’organisme. 
Lorsque le corps détecte une maladie, une blessure ou une anomalie 
* il déclenche un signal de douleur pour nous faire réagir
-retirer la main du feu par exemple, 
- ne pas marcher avec une entorse, 
- nous soigner, 
- nous protéger d’une blessure…

La douleur permet donc d’attirer notre attention sur quelque chose d’anormal : notre corps sonne l’alarme. 
* Le signal de douleur est différent en fonction de la cause de la douleur : 
une brûlure ne provoque pas la même sensation qu’une fracture. 
Mais la douleur varie également en fonction des personnes, de nos émotions, de notre mental, de notre stress, de notre éducation et de notre culture.

Selon les circonstances, elle est plus ou moins facile à supporter. 
Un moment de plaisir peut calmer un instant une douleur vive. 
Au contraire, une anxiété ou une période de dépression accentuent la douleur et la rendent plus difficile à vivre.

La douleur est donc une sensation complexe, à la fois physique et émotionnelle.
Elle se traduit par :
- Une sensation physique, caractérisée par la localisation, l’intensité et l’évolution de la douleur (« ça pique », « ça brûle », ça fait « un peu » ou « très mal », « ça augmente » ou « ça diminue ») ;
- Une émotion, qui correspond à ce que nous ressentons moralement (« c’est désagréable », « c’est pénible », « c’est inquiétant », « c’est insupportable »);
- Un comportement, qui correspond à notre manière de réagir à la douleur, de l’exprimer par le corps ou par la parole (position, grimace, pleurs, cris, plainte) ;
- Une réaction mentale, qui correspond à notre façon de la gérer, de l’interpréter, de lui donner un sens, de chercher à l’oublier ou à vivre avec.

Ces quatre aspects sont indissociables. 
Pour comprendre et soulager la douleur, il faut donc prendre en compte sa cause physique, mais aussi et surtout ce que la personne ressent, physiquement et moralement.

LES DIFFÉRENTS TYPES DE DOULEURS

La douleur est une sensation à la fois physique et émotionnelle. 
C’est une expérience personnelle : chacun ressent et réagit différemment face à sa douleur.
On distingue différents types de douleurs en fonction de leur mécanisme d’origine (nociceptif ou neuropathique) et de leur évolution dans le temps (aiguë et chronique).

Une douleur nociceptive peut être aiguë (brève) ou chronique (persistante). 

Les douleurs d’origine neuropathique sont souvent des douleurs chroniques.

Reconnaître ces différents types de douleurs permet de choisir le bon traitement et de les soulager efficacement.


Toute douleur doit être signalée et soulagée rapidement, pour éviter qu’elle ne s’installe et ne devienne chronique. 

  Portez vous bien, soyez vigilants - A bientôt 



12 commentaires:

  1. Selon le Dr Hamer, les douleurs apparaissent en phase de réparation du corps. Pour les diminuer voire les supprimer, la vitamine C à haute dose est très efficace... Essayé et approuvé !

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  2. Merci Helios ;) je vais re tenter le coup.

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    1. Vitamine C à haute dose à hauteur de combien de mg par jour et par prise ?

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    2. Pour gérer efficacement les douleurs, il faut des doses pondérales de vitamine C, on parle ici en grammes et non en milligrammes. Le docteur Alain Scohy, grâce à qui j'ai découvert les vertus de ce glucoside (et non vitamine, appellation trompeuse) conseille de prendre au moins 20 GRAMMES de vitamine C par jour pour obtenir un effet garanti sur les douleurs et autres manifestations de réparations du corps. Pour cette dose, il est bon d'utiliser de la vit C chimique en poudre et non celle produite à partir de l'acérola, ce qui évite les pb digestifs. La vitamine C liposomale est également une très bonne solution

      Pour plus d'infos, vous pouvez lire les rubriques de ce site qui est actuellement mon fournisseur : http://vitcnat.com/ (il répond aux éventuelles questions par email) ou le site du Dr Scohy.

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    3. Merci Hélios, je pense passer commande dès que j'aurais terminé celles que je prends actuellement. La poudre qu'ils proposent peut se prendre dans de l'eau (éventuellement avec une paille pour éviter les douleurs aux gencives, je ne peux pas prendre de jus de citron pour cette raison, les douleurs sont atroces). Ma dentiste m'a recommandé 2g par jour. Si vous ne savez pas, ce n'est pas grave, je poserai la question à l'adresse que vous m'avez gentiment communiquée.

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    4. A anonyme , il est possible de régénérer les gencives avec de l'huile essentielle de Myrrhe , il faut mettre dans de l'huile sèche ( j'apprécie Colza ; et voir ; http://danysis.blogspot.fr/2015/01/les-huiles-seches.html )
      - 4 gtes de Myrrhe, avec 3 gtes de cyprès, dans 2 ml d'huile sèche.
      Après passage de la brossette interdentaire, brossage doux des dents avec un dentifrice pour dents sensibles (faites vous même votre dentifrice avec de l'argile ; voir le net ) , sans fluor, sans menthe ou pire menthol... et bon rinçage, il faut passer entre les dents une petite brossette trempée dans le mélange d'huile essentielle. les gencives et mâchoires seront totalement REGENEREES ! à faire le soir, sur plusieurs mois 4 - 5 environ , puis une fois par semaine ou plus selon vos besoins. Beaucoup d'ennuis proviennent des dentifrices !

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    5. Je ne sais pas quel est ton problème, anonyme, mais si c'est la parodontose, il faut prendre bien plus que 2 grammes par jour. Lire mon article sur la vit C liposomale, les dosages sont indiqués : http://bistrobarblog.blogspot.fr/2017/01/la-vitamine-c-liposomale.html

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  3. Merci Hélios, ces explications précieuses sont d'Hélios (mon amie) qui a le blog http://bistrobarblog.blogspot.fr/

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  4. merci BUG - lien qui ne s'inscrit pas en actif, désolée.
    Je cherche toujours un ou une administrateur pour aide au blog

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