Tous les êtres aspirent à être heureux, à croître dans l'harmonie cosmique et, surtout, à éviter la souffrance.
Les animaux ressentent la peur, la douleur, tout comme les humains, et pas seulement eux, le règne végétal et...nos légumes aussi. C'est ainsi pour tout ce qui vit.
Alors, quand vous mangez pensez à ce que vous mâcher, le pourquoi vous le faites, cela a été appelé par "mon" Lama la nourriture consciente. Manger en conscience comme le disait "mon" Lama, dont je n'ai stupidement pas garder le cours pour le recopier ici.
Cette nourriture est "éveillé" du fait que tous les êtres sont unis en une conscience unique. Respecter
le sacrifice qu'ils font par leur mort pour vous nourrir.
Effectivement, pour nourrir notre corps physique, nous sommes dans l'obligation de manger, cependant, par les "jeux" des vibrations, cela ne s'arrête pas là. Il faut bien aussi nourrir les autres corps, et l'âme avec.
Il nous faut être conscient que nous sommes des "citoyens-citoyennes" du Cosmos où nous faisons partie de la "fraternité" Universelle.
Je me fait connecteur de ce que je trouve par ci
par là, qui hélas n'est pas vraiment à la hauteur de mon cours "perdu" ! Mais le peu précité, et compris, est à l'oeuvre. Restez respectueux .
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
ORIGINES PHYSIQUES: LES ÉLÉMENTS NUTRITIFS
D’où viennent les aliments? Ce sont les rayons solaires,
l’eau et le sol qui, de manière effective, contribuent tous ensemble à la
croissance des plantes. Les animaux tirent leur nourriture des plantes et pour
certains des autres animaux. La source de l’alimentation des êtres humains est
à la fois minérale, végétale et carnée.
Nos aliments sont composés de 40 à 45 substances nutritives
que nous devons consommer en quantités adéquates afin de grandir et de mener
une vie saine. Ces éléments pénètrent dans notre corps et sont convertis en
milliers de substances vitales.
Les éléments nutritifs sont divisés en six classes
générales: les hydrates de carbone, les graisses, les protéines, les vitamines,
les minéraux et l’eau.
ORIGINE SPIRITUELLE: LES ÉTINCELLES...
début et suite ; http://www.lamed.fr/index.php?id=1&art=1030
Les aliments sont-ils importants ?
Selon les dernières recherches, ils sont très importants. Je viens de lire, ce matin encore (août 2013), que les proportions de la nourriture que nous mangeons peuvent déclencher une réponse inflammatoire de certains gènes.
Manger trop d’hydrates de carbone par rapport aux matières grasses et aux protéines et nous voilà courbaturés…
Manger trop d’hydrates de carbone par rapport aux matières grasses et aux protéines et nous voilà courbaturés…
Les gènes meurtriers
J’avais appris, il y a quelques années, que la nourriture sucrée déclenchait ce que le Dr Gundry appelle les gènes meurtriers (killer genes). Ce sont des gènes qui, après un certain âge, provoquent une réaction qui va nous conduire vers la mort le plus rapidement possible, soit par le diabète, le cancer, une crise cardiaque ou autre maladie catastrophique ou dégénérative. Ces gènes n’ont pas de préférence. Leur rôle, c’est de faire de la place pour la nouvelle génération, d’une manière ou d’une autre, selon nos faiblesses génétiques.
Heureusement, on peut truquer ces gènes par la nourriture que nous mangeons, et leur faire croire que nous sommes encore jeunes et plein de vitalité, pas près de laisser la place à nos cadets.
J’avais appris, il y a quelques années, que la nourriture sucrée déclenchait ce que le Dr Gundry appelle les gènes meurtriers (killer genes). Ce sont des gènes qui, après un certain âge, provoquent une réaction qui va nous conduire vers la mort le plus rapidement possible, soit par le diabète, le cancer, une crise cardiaque ou autre maladie catastrophique ou dégénérative. Ces gènes n’ont pas de préférence. Leur rôle, c’est de faire de la place pour la nouvelle génération, d’une manière ou d’une autre, selon nos faiblesses génétiques.
Heureusement, on peut truquer ces gènes par la nourriture que nous mangeons, et leur faire croire que nous sommes encore jeunes et plein de vitalité, pas près de laisser la place à nos cadets.
A la recherche de la santé
Ma propre expérience m’a montré à quel point notre alimentation est importante. J’avais été diagnostiquée d’un cancer de la peau à l’âge de 15 ans et devais subir des interventions chirurgicales tous les six mois. Grâce aux études de psychologie que je suivais et aux collègues que j’ai rencontrés, j’ai appris qu’il y avait peut-être un autre moyen de me guérir. Je me suis intéressée à la nutrition et j’ai fait des expérimentations alimentaires. Tout d’abord, le crudisme ou crudivorisme.
La première conférence que j’ai suivie ne m’a guère enchantée. Il y avait une magnifique table couverte de fruits et légumes devant la salle de conférences. Quelques crabes se reposaient sur les aliments. Nous avons appris que si nous voulions faire du crudisme, il était important de manger des protéines, même crues. À la fin du séminaire, nous avons été invités à prendre part au festin préparé pour nous… mais voilà, les crabes s’étaient réveillés et grimpaient sur fruits et légumes. On nous a conseillé d’en attraper un, de lui arracher la pince et de déguster. Non merci, pas pour moi.
Je me suis lancée dans l’étude de la macrobiotique, un régime végétalien où, à l’inverse, on cuisait tout, y compris fruits et salades.
Après une année de cours, je me suis rendue compte que les dirigeants donnaient un bon exemple du dicton : “Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.” Je me suis ensuite dirigée dans une étude de moi, encore moi et rien que moi, c’est-à-dire que j’observais comment mon corps réagissait à certains aliments. Pour faire cela, je me privais d’un aliment pendant 3 semaines, puis je m’en gorgeais… et j’observais. Sans le savoir, c’est une des meilleures méthodes pour trouver la nourriture à laquelle nous pourrions être sensibles.
Je ne suis plus retournée chez le chirurgien pour ce problème de cancer et j’ai joui d’une excellente santé et d’une grande vitalité entre les âges de 18 et 24 ans, après quoi j’ai émigré aux États-Unis.
Entre les yogourts verts, les pâtisseries géantes couleur arc-en-ciel et les agents conservateurs, il n’y avait de nourriture que le nom dans le monde où j’évoluais. Dès que possible, je me suis mise à jardiner : tomates, maïs, haricots, petits pois, courges, salades, choux, concombres, et j’en passe. Tout était biologique et délicieux. J’ai appris à faire des conserves, ainsi qu’à déshydrater et à congeler le surplus. Mes enfants sont nés et ont appris à se régaler de produits frais du jardin. Nous avons habité dans une forêt pendant des années, où l’on trouvait des arbres fruitiers à l’état sauvage : poires, pommes, abricots, prunes, pêches indiennes (elles sont rouges à l’intérieur), ainsi que des baies sauvages, un vrai festin, fraîches ou en confitures.
Nous achetions les produits qui nous manquaient chez des paysans de la région et commandions de la viande biologique d’animaux nourris à l’herbage. Mes sept enfants ont rarement été malades. Les grippes qui alitaient la plupart des gens pour des semaines ne duraient qu’un ou deux jours chez nous, durant les rares épisodes où nous étions affaiblis.
Ma propre expérience m’a montré à quel point notre alimentation est importante. J’avais été diagnostiquée d’un cancer de la peau à l’âge de 15 ans et devais subir des interventions chirurgicales tous les six mois. Grâce aux études de psychologie que je suivais et aux collègues que j’ai rencontrés, j’ai appris qu’il y avait peut-être un autre moyen de me guérir. Je me suis intéressée à la nutrition et j’ai fait des expérimentations alimentaires. Tout d’abord, le crudisme ou crudivorisme.
La première conférence que j’ai suivie ne m’a guère enchantée. Il y avait une magnifique table couverte de fruits et légumes devant la salle de conférences. Quelques crabes se reposaient sur les aliments. Nous avons appris que si nous voulions faire du crudisme, il était important de manger des protéines, même crues. À la fin du séminaire, nous avons été invités à prendre part au festin préparé pour nous… mais voilà, les crabes s’étaient réveillés et grimpaient sur fruits et légumes. On nous a conseillé d’en attraper un, de lui arracher la pince et de déguster. Non merci, pas pour moi.
Je me suis lancée dans l’étude de la macrobiotique, un régime végétalien où, à l’inverse, on cuisait tout, y compris fruits et salades.
Après une année de cours, je me suis rendue compte que les dirigeants donnaient un bon exemple du dicton : “Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.” Je me suis ensuite dirigée dans une étude de moi, encore moi et rien que moi, c’est-à-dire que j’observais comment mon corps réagissait à certains aliments. Pour faire cela, je me privais d’un aliment pendant 3 semaines, puis je m’en gorgeais… et j’observais. Sans le savoir, c’est une des meilleures méthodes pour trouver la nourriture à laquelle nous pourrions être sensibles.
Je ne suis plus retournée chez le chirurgien pour ce problème de cancer et j’ai joui d’une excellente santé et d’une grande vitalité entre les âges de 18 et 24 ans, après quoi j’ai émigré aux États-Unis.
Entre les yogourts verts, les pâtisseries géantes couleur arc-en-ciel et les agents conservateurs, il n’y avait de nourriture que le nom dans le monde où j’évoluais. Dès que possible, je me suis mise à jardiner : tomates, maïs, haricots, petits pois, courges, salades, choux, concombres, et j’en passe. Tout était biologique et délicieux. J’ai appris à faire des conserves, ainsi qu’à déshydrater et à congeler le surplus. Mes enfants sont nés et ont appris à se régaler de produits frais du jardin. Nous avons habité dans une forêt pendant des années, où l’on trouvait des arbres fruitiers à l’état sauvage : poires, pommes, abricots, prunes, pêches indiennes (elles sont rouges à l’intérieur), ainsi que des baies sauvages, un vrai festin, fraîches ou en confitures.
Nous achetions les produits qui nous manquaient chez des paysans de la région et commandions de la viande biologique d’animaux nourris à l’herbage. Mes sept enfants ont rarement été malades. Les grippes qui alitaient la plupart des gens pour des semaines ne duraient qu’un ou deux jours chez nous, durant les rares épisodes où nous étions affaiblis.
Aller plus loin que l’alimentation
Oui, la nourriture est très importante, mais elle n’offre pas une gamme complète du bien-être. J’ai vécu pendant des années dans une situation difficile et le stress a eu des conséquences néfastes sur ma santé. Je me suis retrouvée alitée pendant plusieurs mois, isolée, avec sept enfants à charge. J’ai recommencé à étudier la nutrition et je me suis inscrite à un programme de naturopathie, qui m’a aidé à remonter la pente. La nutrition en était une branche importante et j’ai à nouveau étudié le crudisme, sans les crabes cette fois, ainsi que d’autres régimes alimentaires. J’ai suivi plusieurs cures de détoxication et me suis fortifiée avec des suppléments alimentaires.
Durant cette période, je me suis rendue compte que bien que l’alimentation soit importante, les émotions le sont également. Si l’on vit dans un stress constant ou que l’on a un désir de mort inconscient en soi, la nourriture la plus saine et les suppléments les plus puissants ne nous garderont pas en vie ou en santé. Je me suis donc lancée dans l’étude des émotions, du rôle que joue l’inconscient, le subconscient et le super-conscient, et j’ai appris à transformer mes états mentaux pour récupérer la qualité de vie et de santé qui avait été la mienne lorsque j’étais plus jeune.
De ces défis que la vie m’a lancés, j’ai développé les 5 clés du bien-être sur la planète Terre.
Oui, la nourriture est très importante, mais elle n’offre pas une gamme complète du bien-être. J’ai vécu pendant des années dans une situation difficile et le stress a eu des conséquences néfastes sur ma santé. Je me suis retrouvée alitée pendant plusieurs mois, isolée, avec sept enfants à charge. J’ai recommencé à étudier la nutrition et je me suis inscrite à un programme de naturopathie, qui m’a aidé à remonter la pente. La nutrition en était une branche importante et j’ai à nouveau étudié le crudisme, sans les crabes cette fois, ainsi que d’autres régimes alimentaires. J’ai suivi plusieurs cures de détoxication et me suis fortifiée avec des suppléments alimentaires.
Durant cette période, je me suis rendue compte que bien que l’alimentation soit importante, les émotions le sont également. Si l’on vit dans un stress constant ou que l’on a un désir de mort inconscient en soi, la nourriture la plus saine et les suppléments les plus puissants ne nous garderont pas en vie ou en santé. Je me suis donc lancée dans l’étude des émotions, du rôle que joue l’inconscient, le subconscient et le super-conscient, et j’ai appris à transformer mes états mentaux pour récupérer la qualité de vie et de santé qui avait été la mienne lorsque j’étais plus jeune.
De ces défis que la vie m’a lancés, j’ai développé les 5 clés du bien-être sur la planète Terre.
La Clé no 1 : Santé et vitalité
Santé et vitalité se concentrent principalement sur la nutrition et la détoxication. C’est par là que j’ai commencé. C’est fort simple, mais pas nécessairement aisé. Il faut prendre soin de son corps, le véhicule qui nous conduit de la naissance à la mort. Malheureusement, la plupart des gens donnent de meilleurs soins à leur automobile et à leurs animaux qu’à eux-mêmes. Ce n’est que lorsqu’ils perdent la santé et sont affligés d’une maladie dégénérative ou catastrophique qu’ils y prêtent attention. Renversons cette tendance !
Commençons par les dix commandements d’une alimentation saine.
Santé et vitalité se concentrent principalement sur la nutrition et la détoxication. C’est par là que j’ai commencé. C’est fort simple, mais pas nécessairement aisé. Il faut prendre soin de son corps, le véhicule qui nous conduit de la naissance à la mort. Malheureusement, la plupart des gens donnent de meilleurs soins à leur automobile et à leurs animaux qu’à eux-mêmes. Ce n’est que lorsqu’ils perdent la santé et sont affligés d’une maladie dégénérative ou catastrophique qu’ils y prêtent attention. Renversons cette tendance !
Commençons par les dix commandements d’une alimentation saine.
1. Mangez avec une attitude de gratitude
Ce qui est même mieux, c’est de vivre dans la gratitude. Le président d’une société bien connue aux États-Unis porte un petit appareil qui vibre toutes les 12 minutes… afin de l’inciter à éprouver de la gratitude quasi continuellement.
Appréciez la nourriture que vous mangez. Visualisez les substances nutritives apportant les éléments et l’énergie nécessaires pour le bon fonctionnement de chaque cellule de votre corps, leur donnant la vitalité et la force dont vous avez besoin pendant la journée.
2. Passez un moment agréable dans un environnement relaxant
Votre métabolisme ne fonctionne pas bien dans un état de stress. La digestion s’effectue en mode parasympathique, ce qui veut dire dans un état relaxé. Manger “sur le pouce” ou pendant que l’on se dispute ou que l’on écoute les nouvelles va ralentir votre digestion et votre métabolisme. Si vous voulez bien nourrir votre corps, écoutez de la musique relaxante ou des sons naturels. Laissez les problèmes de la journée s’envoler. Partagez de bonnes nouvelles, de l’humour et des histoires positives.
3. Mâchez bien votre nourriture
La digestion des hydrates de carbones commence dans la bouche, lorsque la nourriture se mélange avec la salive. Avaler de petits morceaux facilite le travail de l’estomac.
4. Choisissez de la nourriture biologique, de saison et pleine de
substances nutritives
Manger des aliments simples, qui sont cultivés de manière biologique, de préférence localement et auxquels on a permis de mûrir naturellement, voilà qui apportera des bénéfices pour la santé de votre corps. Choisissez aussi des super-aliments, qui sont pauvres en calories, mais riches en substances nutritives, que vous trouverez dans votre magasin bio. Intéressez-vous aux plantes et peut-être même aux “mauvaises herbes” qui contiennent une myriade d’éléments nutritifs.
5. Mangez un assortiment de couleurs, de textures et de goûts
Cela fournira à votre corps et à votre esprit ce dont ils ont besoin, sans avoir à jongler avec des recommandations quotidiennes. Cela nourrira la partie de vous qui aime la beauté et l’harmonie. Préparez de la nourriture qui titille vos papilles gustatives, votre odorat, votre vue et votre toucher : rouge, jaune, vert, blanc ; croquant, lisse, tendre, dur… Utilisez votre imagination. En médecine ayurvédique, on reconnaît six goûts différents : doux, aigre, amer, salé, épicé et âcre. Dans la plupart des pays occidentaux, on ne s’attend qu’à du sucré ou du salé et la population de ces pays a tendance à grignoter plus de snacks sucrés ou salés qu’elle n’en a besoin, sans se rendre compte que le corps a encore faim, mais faim pour les goûts, les couleurs et les textures qui lui manquent.
6. Nourrissez votre “arbre généalogique”
Une partie de notre corps est encore programmée comme l’était celui de nos ancêtres. Cette partie de nous, qu’elle soit physique ou émotionnelle, demande de l’attention. J’ai des ancêtres suisses… du pain et du fromage mangés à l’alpage me nourrissent profondément. Des ancêtres grecs ? Dégustez de la feta et des olives de ce pays. Quel groupe ethnique trouvez-vous dans votre arbre généalogique ? Pensez à nourrir cette partie de vous-même… et observez vos réactions.
7. Nourrissez l’enfant en vous
AMUSEZ-VOUS ! Pensez à des souvenirs heureux ou à un rêve (si vos souvenirs ne sont pas heureux, imaginez quelque chose de positif). Donnez-vous l’autorisation d’être un enfant heureux et même espiègle. Nous avons tous beaucoup d’obligations sociales, mais les recherches démontrent l’importance du plaisir et de l’amusement. Vous aurez moins de problèmes avec la nourriture si vous vous accordez le droit de vous amuser. Personnellement, j’aime me balancer dans les parcs ou jouer au cerf-volant sur les plages.
8. Émotion = E-nergie en mouvement
Les émotions doivent passer à travers nous. Malheureusement, on a tendance à les bloquer, ce qui permet à des problèmes physiques ou des douleurs de se développer. Repousser une émotion conduit souvent à des allergies de toutes sortes.
Observez vos émotions. Êtes-vous en colère, triste, anxieux, frustré ? Comment ressentez-vous cette émotion ? Où est-elle localisée dans votre corps ? De quoi s’agit-il vraiment ? Observez… Relâchez…
9. Nourrissez votre besoin de contact physique et de communauté
La nourriture ne peut pas prendre la place d’une étreinte, de contacts physiques ou de l’intimité dont nous avons besoin. Si vous n’avez pas de conjoint ou de petit(e) ami(e), offrez-vous des massages, une journée dans un spa, pratiquez un sport de contact ou trouvez des amis qui vous enlaceront amicalement. Pourquoi pas la danse ou les arts martiaux ? Faire partie d’un groupe social où les gens travaillent et jouent ensemble est important pour la santé. Les villes et villages qui vivent dans un esprit de communauté ont moins de problèmes de santé. Trouvez donc votre communauté.
10. Nourrissez votre esprit et votre âme
Nous avons bien sûr besoin de nourriture pour notre corps physique, mais notre esprit aussi demande à être inspiré par quelque chose de positif. Prenez le temps, chaque jour, de méditer sur du positif, de lire des livres ou des articles qui vous inspirent ou d’écoutez des conférences qui vous motivent.
Nourrissez votre âme par la prière, la méditation, la communion, la musique, la respiration profonde, la relaxation, la beauté, etc. Si une promenade dans la nature vous aide à remplir ce besoin, allez-y. Rien ne peut remplacer le sentiment d’être connecté avec quelque chose ou quelqu’un de plus grand que soi. J’aime à faire du kayak… c’est calme et les paysages naturels que l’on traverse sont magnifiques, que ce soit au bord de l’océan, sur un lac ou le long d’une rivière. Pour moi, c’est relaxant, rafraîchissant et restaurateur.
La responsabilité, que l’on pourrait appeler “réaction-habileté” (ça sonne mieux en anglais) veut dire que nous avons l’habilité ou la capacité de répondre à la vie. Il est plus facile de devenir responsable et de suivre un mode de vie sain si ce mode de vie est basé sur des fondations fermes et logiques.
Ce qui est même mieux, c’est de vivre dans la gratitude. Le président d’une société bien connue aux États-Unis porte un petit appareil qui vibre toutes les 12 minutes… afin de l’inciter à éprouver de la gratitude quasi continuellement.
Appréciez la nourriture que vous mangez. Visualisez les substances nutritives apportant les éléments et l’énergie nécessaires pour le bon fonctionnement de chaque cellule de votre corps, leur donnant la vitalité et la force dont vous avez besoin pendant la journée.
2. Passez un moment agréable dans un environnement relaxant
Votre métabolisme ne fonctionne pas bien dans un état de stress. La digestion s’effectue en mode parasympathique, ce qui veut dire dans un état relaxé. Manger “sur le pouce” ou pendant que l’on se dispute ou que l’on écoute les nouvelles va ralentir votre digestion et votre métabolisme. Si vous voulez bien nourrir votre corps, écoutez de la musique relaxante ou des sons naturels. Laissez les problèmes de la journée s’envoler. Partagez de bonnes nouvelles, de l’humour et des histoires positives.
3. Mâchez bien votre nourriture
La digestion des hydrates de carbones commence dans la bouche, lorsque la nourriture se mélange avec la salive. Avaler de petits morceaux facilite le travail de l’estomac.
4. Choisissez de la nourriture biologique, de saison et pleine de
substances nutritives
Manger des aliments simples, qui sont cultivés de manière biologique, de préférence localement et auxquels on a permis de mûrir naturellement, voilà qui apportera des bénéfices pour la santé de votre corps. Choisissez aussi des super-aliments, qui sont pauvres en calories, mais riches en substances nutritives, que vous trouverez dans votre magasin bio. Intéressez-vous aux plantes et peut-être même aux “mauvaises herbes” qui contiennent une myriade d’éléments nutritifs.
5. Mangez un assortiment de couleurs, de textures et de goûts
Cela fournira à votre corps et à votre esprit ce dont ils ont besoin, sans avoir à jongler avec des recommandations quotidiennes. Cela nourrira la partie de vous qui aime la beauté et l’harmonie. Préparez de la nourriture qui titille vos papilles gustatives, votre odorat, votre vue et votre toucher : rouge, jaune, vert, blanc ; croquant, lisse, tendre, dur… Utilisez votre imagination. En médecine ayurvédique, on reconnaît six goûts différents : doux, aigre, amer, salé, épicé et âcre. Dans la plupart des pays occidentaux, on ne s’attend qu’à du sucré ou du salé et la population de ces pays a tendance à grignoter plus de snacks sucrés ou salés qu’elle n’en a besoin, sans se rendre compte que le corps a encore faim, mais faim pour les goûts, les couleurs et les textures qui lui manquent.
6. Nourrissez votre “arbre généalogique”
Une partie de notre corps est encore programmée comme l’était celui de nos ancêtres. Cette partie de nous, qu’elle soit physique ou émotionnelle, demande de l’attention. J’ai des ancêtres suisses… du pain et du fromage mangés à l’alpage me nourrissent profondément. Des ancêtres grecs ? Dégustez de la feta et des olives de ce pays. Quel groupe ethnique trouvez-vous dans votre arbre généalogique ? Pensez à nourrir cette partie de vous-même… et observez vos réactions.
7. Nourrissez l’enfant en vous
AMUSEZ-VOUS ! Pensez à des souvenirs heureux ou à un rêve (si vos souvenirs ne sont pas heureux, imaginez quelque chose de positif). Donnez-vous l’autorisation d’être un enfant heureux et même espiègle. Nous avons tous beaucoup d’obligations sociales, mais les recherches démontrent l’importance du plaisir et de l’amusement. Vous aurez moins de problèmes avec la nourriture si vous vous accordez le droit de vous amuser. Personnellement, j’aime me balancer dans les parcs ou jouer au cerf-volant sur les plages.
8. Émotion = E-nergie en mouvement
Les émotions doivent passer à travers nous. Malheureusement, on a tendance à les bloquer, ce qui permet à des problèmes physiques ou des douleurs de se développer. Repousser une émotion conduit souvent à des allergies de toutes sortes.
Observez vos émotions. Êtes-vous en colère, triste, anxieux, frustré ? Comment ressentez-vous cette émotion ? Où est-elle localisée dans votre corps ? De quoi s’agit-il vraiment ? Observez… Relâchez…
9. Nourrissez votre besoin de contact physique et de communauté
La nourriture ne peut pas prendre la place d’une étreinte, de contacts physiques ou de l’intimité dont nous avons besoin. Si vous n’avez pas de conjoint ou de petit(e) ami(e), offrez-vous des massages, une journée dans un spa, pratiquez un sport de contact ou trouvez des amis qui vous enlaceront amicalement. Pourquoi pas la danse ou les arts martiaux ? Faire partie d’un groupe social où les gens travaillent et jouent ensemble est important pour la santé. Les villes et villages qui vivent dans un esprit de communauté ont moins de problèmes de santé. Trouvez donc votre communauté.
10. Nourrissez votre esprit et votre âme
Nous avons bien sûr besoin de nourriture pour notre corps physique, mais notre esprit aussi demande à être inspiré par quelque chose de positif. Prenez le temps, chaque jour, de méditer sur du positif, de lire des livres ou des articles qui vous inspirent ou d’écoutez des conférences qui vous motivent.
Nourrissez votre âme par la prière, la méditation, la communion, la musique, la respiration profonde, la relaxation, la beauté, etc. Si une promenade dans la nature vous aide à remplir ce besoin, allez-y. Rien ne peut remplacer le sentiment d’être connecté avec quelque chose ou quelqu’un de plus grand que soi. J’aime à faire du kayak… c’est calme et les paysages naturels que l’on traverse sont magnifiques, que ce soit au bord de l’océan, sur un lac ou le long d’une rivière. Pour moi, c’est relaxant, rafraîchissant et restaurateur.
La responsabilité, que l’on pourrait appeler “réaction-habileté” (ça sonne mieux en anglais) veut dire que nous avons l’habilité ou la capacité de répondre à la vie. Il est plus facile de devenir responsable et de suivre un mode de vie sain si ce mode de vie est basé sur des fondations fermes et logiques.
Tout est énergie
Pour commencer, j’aime à démontrer que nous sommes tous formés d’énergie. Vous avez certainement observé l’image d’un atome. Il y a un noyau, au milieu, composé de neutrons et de protons. Des électrons circulent et vibrent autour de ce noyau. Notre corps est formé de muscles, d’os, d’organes, etc… Prenons le foie, par exemple. Celui-ci est formé de cellules, qui sont formées de molécules, qui sont formées d’atomes… qui vibrent à des fréquences différentes. Nous savons que la vibration d’un foie sain est différente de la vibration d’un foie malade. Chaque cellule garde le souvenir de la santé ; il est donc possible à notre corps de retourner à la santé grâce à de bonnes instructions.
La nourriture saine et naturelle “parle” à nos cellules ; elle leur donne des instructions. Nos cellules ne comprennent pas le langage des aliments chimiques, agents conservateurs, colorants artificiels ou organismes génétiquement modifiés (OGM). La nourriture saine et naturelle donne de l’énergie à nos cellules et apporte à notre corps les éléments nécessaires à son bon fonctionnement : protéines, matières grasses et hydrates de carbone, vitamines, minéraux, oligo-élements, phytonutrients et bien d’autres.
Ce n’est pas seulement la chimie d’un aliment qui est importante, mais l’énergie de celui-ci. On peut démontrer, avec un appareil de photo Kirlian, que l’énergie d’un aliment biologique est différente d’un aliment commercial, comme on le voit sur la photo de ces champignons. A gauche, un champignon biologique, à droite un champignon commercial.
Aimeriez-vous avoir plus d’énergie et de vitalité : nourrissez-vous d’aliments vivants, naturels, remplis de potentiel énergétique. Une photo Kirlian démontre à nouveau, à gauche, l’énergie de la main d’une personne qui consomme des aliments à hautes substances nutritives et à droite, l’énergie de la main d’une personne qui consomme de la nourriture de moindre qualité. C’est un choix à faire !
Pour commencer, j’aime à démontrer que nous sommes tous formés d’énergie. Vous avez certainement observé l’image d’un atome. Il y a un noyau, au milieu, composé de neutrons et de protons. Des électrons circulent et vibrent autour de ce noyau. Notre corps est formé de muscles, d’os, d’organes, etc… Prenons le foie, par exemple. Celui-ci est formé de cellules, qui sont formées de molécules, qui sont formées d’atomes… qui vibrent à des fréquences différentes. Nous savons que la vibration d’un foie sain est différente de la vibration d’un foie malade. Chaque cellule garde le souvenir de la santé ; il est donc possible à notre corps de retourner à la santé grâce à de bonnes instructions.
La nourriture saine et naturelle “parle” à nos cellules ; elle leur donne des instructions. Nos cellules ne comprennent pas le langage des aliments chimiques, agents conservateurs, colorants artificiels ou organismes génétiquement modifiés (OGM). La nourriture saine et naturelle donne de l’énergie à nos cellules et apporte à notre corps les éléments nécessaires à son bon fonctionnement : protéines, matières grasses et hydrates de carbone, vitamines, minéraux, oligo-élements, phytonutrients et bien d’autres.
Ce n’est pas seulement la chimie d’un aliment qui est importante, mais l’énergie de celui-ci. On peut démontrer, avec un appareil de photo Kirlian, que l’énergie d’un aliment biologique est différente d’un aliment commercial, comme on le voit sur la photo de ces champignons. A gauche, un champignon biologique, à droite un champignon commercial.
Aimeriez-vous avoir plus d’énergie et de vitalité : nourrissez-vous d’aliments vivants, naturels, remplis de potentiel énergétique. Une photo Kirlian démontre à nouveau, à gauche, l’énergie de la main d’une personne qui consomme des aliments à hautes substances nutritives et à droite, l’énergie de la main d’une personne qui consomme de la nourriture de moindre qualité. C’est un choix à faire !
Le futur de la nourriture
On trouve maintenant un nouveau groupe d’aliments appelés super-aliments (superfood). Leur teneur en calories est très basse, mais il regorge de substances nutritives optimalisant la santé. De nouvelles recherches démontrent que ce ne sont pas les calories de la nourriture qu’il faut compter, mais les éléments nutritifs qu’elle contient.
Il n’y a pas si longtemps, la nourriture provenait du paysan, du chasseur et du pêcheur. On n’y ajoutait pas d’hormones, d’engrais chimiques magiques, et on ne mélangeait pas les graines de tomates avec des gènes de porc ou de poisson. Après plusieurs années d’espoir que les produits chimiques et les manipulations génétiques pourraient sauver le monde de la faim, et la constatation que ce n’est pas le cas et que c’est plutôt néfaste, il y a un mouvement mondial pour le retour à la nature. Je reçois presque quotidiennement des articles m’annonçant qu’un nouveau groupe prend conscience de l’importance de la nourriture naturelle.
Aujourd’hui, c’était en Grèce que des personnes préparaient des “boules de graines,” mélangées avec de la terre et de l’engrais, qui étaient lancées dans la nature, où elles croissaient et offraient de la nourriture aux habitants avoisinants. Dans bien des villes aux États-Unis, des groupes d’individus transforment des terrains vagues en jardins potagers, pour le bénéfice de tous.
La permaculture et la culture de jeunes pousses prennent racine dans le monde entier. Chaque personne pourrait avoir une petite parcelle de vitamines naturelles, même à domicile. Selon une conférence que je viens de suivre, une jeune pousse de brocoli aurait les mêmes substances nutritives que le brocoli que nous achetons au marché, en moins gros.
On trouve maintenant un nouveau groupe d’aliments appelés super-aliments (superfood). Leur teneur en calories est très basse, mais il regorge de substances nutritives optimalisant la santé. De nouvelles recherches démontrent que ce ne sont pas les calories de la nourriture qu’il faut compter, mais les éléments nutritifs qu’elle contient.
Il n’y a pas si longtemps, la nourriture provenait du paysan, du chasseur et du pêcheur. On n’y ajoutait pas d’hormones, d’engrais chimiques magiques, et on ne mélangeait pas les graines de tomates avec des gènes de porc ou de poisson. Après plusieurs années d’espoir que les produits chimiques et les manipulations génétiques pourraient sauver le monde de la faim, et la constatation que ce n’est pas le cas et que c’est plutôt néfaste, il y a un mouvement mondial pour le retour à la nature. Je reçois presque quotidiennement des articles m’annonçant qu’un nouveau groupe prend conscience de l’importance de la nourriture naturelle.
Aujourd’hui, c’était en Grèce que des personnes préparaient des “boules de graines,” mélangées avec de la terre et de l’engrais, qui étaient lancées dans la nature, où elles croissaient et offraient de la nourriture aux habitants avoisinants. Dans bien des villes aux États-Unis, des groupes d’individus transforment des terrains vagues en jardins potagers, pour le bénéfice de tous.
La permaculture et la culture de jeunes pousses prennent racine dans le monde entier. Chaque personne pourrait avoir une petite parcelle de vitamines naturelles, même à domicile. Selon une conférence que je viens de suivre, une jeune pousse de brocoli aurait les mêmes substances nutritives que le brocoli que nous achetons au marché, en moins gros.
Le corps a ses besoins
Parce que je suis naturopathe de carrière, la plupart des gens présument que je suis végétarienne. Et bien non, ce n’est pas le cas. Ma devise est “d’être en santé”, pas “végétarienne”, “végétalienne” ou “crudivoriste.” J’ai suivi des régimes vétégariens, végétaliens, crudivoristes, macrobiotiques et bien d’autres, soit pour les essayer et observer les réactions de mon corps, soit pour une saison selon mes besoins de santé.
J’étais crudivoriste-végétalienne au commencement de mon divorce, qui a engendré énormément de stress. Un de mes collègues, un naturopathe, m’a dit que j’allais mourir si je ne commençais pas à cuire mes aliments et à les épicer fortement. Mon méridien du rein était tellement épuisé (je vivais dans la terreur) qu’il avait besoin d’être réchauffé. A cette période, je pensais que la nourriture crue était la meilleure et la plus digestible, pour tous les maux. J’ai fait des recherches et trouvé qu’il avait peut-être raison. D’autres personnes étaient décédées d’un méridien affaibli. Je me suis mise à cuire certains légumes et à ajouter des piments à mes menus. Je m’en suis sentie mieux.
Quelques années plus tard, alors que je suivais un cours de naturopathie, l’instructeur m’a fait remarquer que mes troubles digestifs provenaient du fait que je ne mangeais pas de viande. Je suis du groupe sanguin O et du groupe métabolique “protéines”. Mon corps a besoin de protéines animales et de matières grasses. Il ne peut guère digérer les céréales. L’idée de manger de la viande ne m’attirait guère. Cela me répugnait plutôt. Un jour, j’étais au restaurant avec quelqu’un qui mangeait un steak saignant. J’en ai demandé un petit morceau… un sursaut d’énergie me secoua. C’était délicieux et j’en avais besoin. La viande que je choisis provient d’animaux vivant dans des conditions naturelles et ayant été bien traités durant leur vie.
L’alimentation ne doit pas devenir une religion. Elle peut diviser les groupes, certains se sentant plus spirituels parce qu’ils ne mangent pas de viande… alors que d’autres se sentent plus mûrs parce qu’ils en mangent. Soyons conscients de nos besoins et nourrissons-nous d’aliments nutritifs et naturels. C’est là la clé de la santé.
Parce que je suis naturopathe de carrière, la plupart des gens présument que je suis végétarienne. Et bien non, ce n’est pas le cas. Ma devise est “d’être en santé”, pas “végétarienne”, “végétalienne” ou “crudivoriste.” J’ai suivi des régimes vétégariens, végétaliens, crudivoristes, macrobiotiques et bien d’autres, soit pour les essayer et observer les réactions de mon corps, soit pour une saison selon mes besoins de santé.
J’étais crudivoriste-végétalienne au commencement de mon divorce, qui a engendré énormément de stress. Un de mes collègues, un naturopathe, m’a dit que j’allais mourir si je ne commençais pas à cuire mes aliments et à les épicer fortement. Mon méridien du rein était tellement épuisé (je vivais dans la terreur) qu’il avait besoin d’être réchauffé. A cette période, je pensais que la nourriture crue était la meilleure et la plus digestible, pour tous les maux. J’ai fait des recherches et trouvé qu’il avait peut-être raison. D’autres personnes étaient décédées d’un méridien affaibli. Je me suis mise à cuire certains légumes et à ajouter des piments à mes menus. Je m’en suis sentie mieux.
Quelques années plus tard, alors que je suivais un cours de naturopathie, l’instructeur m’a fait remarquer que mes troubles digestifs provenaient du fait que je ne mangeais pas de viande. Je suis du groupe sanguin O et du groupe métabolique “protéines”. Mon corps a besoin de protéines animales et de matières grasses. Il ne peut guère digérer les céréales. L’idée de manger de la viande ne m’attirait guère. Cela me répugnait plutôt. Un jour, j’étais au restaurant avec quelqu’un qui mangeait un steak saignant. J’en ai demandé un petit morceau… un sursaut d’énergie me secoua. C’était délicieux et j’en avais besoin. La viande que je choisis provient d’animaux vivant dans des conditions naturelles et ayant été bien traités durant leur vie.
L’alimentation ne doit pas devenir une religion. Elle peut diviser les groupes, certains se sentant plus spirituels parce qu’ils ne mangent pas de viande… alors que d’autres se sentent plus mûrs parce qu’ils en mangent. Soyons conscients de nos besoins et nourrissons-nous d’aliments nutritifs et naturels. C’est là la clé de la santé.
A votre bonne santé !
Danielle J. Duperret
Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD - Las Vegas (USA)
dynamicdr1@gmail.com
www.DanielleDuperret.com/fr
Danielle J. Duperret
Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD - Las Vegas (USA)
dynamicdr1@gmail.com
www.DanielleDuperret.com/fr
Trouvé là http://www.energie-sante.net/as/?p=1098
ATTENTION, pas manger que du cru = danger ! (Danysis)
A bientôt
Houla le cri de la carotte me résonne encore dans les oreilles ;) Nan, c'est vrai qu'il faut prendre conscience de la nourriture que l'on mange et de ce qui est bon ou mauvais pour soi. Je ne suis pas du tout d'accord avec l'auteur sur le fait qu'étant du groupe O il faille manger de la viande. Dans mon cas, cela m'a littéralement sauvé la vie à un moment où mon système immunitaire avait "collapsé". Arrêter le gluten et supprimer le sucre m'a également été bénéfique mais c'est bien plus tard que je l'ai compris. Et je ne manque absolument pas d'énergie. Cela étant, il appartient à chacun de suivre son cheminement et cela vaut également sur le plan nutritionnel. Certains aliments nous réussissent, d'autres moins et c'est ainsi. Mais cela peut changer. Je mange aujourd'hui des trucs qu'on ne m'aurait jamais fait avaler auparavant et vice-versa mais ce que je consomme aujourd'hui est certainement plus sain. Et comme tu dis à juste titre, il n'y a pas que la nourriture physique il y a aussi la nourriture intellectuelle et énergétique.
RépondreSupprimerMerci de ton comm. qui me fait plaisir. Tu as raison, en ce qui concerne l'histoire (farfelue à mon sens ! ) que chaque groupe sanguin a sa nourriture... cela est discrédité depuis, j'avais essayé, j'y avais cru = cata !
Supprimerpour le cru gaffe, je mets ici 2 liens ; voyez aussi colonne de Droite pour d'autres infos !
https://www.youtube.com/watch?v=qQRgRhAf8zc
https://www.youtube.com/watch?v=QH5j2U-Hg2s
Article très important, pourvu qu'il soit transmis et lu par le plus grand nombre. Lùm
RépondreSupprimerLe problème ma (mon) cher(e) Lum, c'est surtout que ce soit assimilé car les gens lisent des tas de trucs, en prêchent beaucoup mais combien mettent en pratique au final ? Chacun se trouve des excuses (moi la première pour la nourriture) jusqu'au jour où le destin nous force la main. Certains persisteront dans leur voie erronée et continueront à manger les mêmes saloperies et d'autres saisiront le message (comme Bibi) pour leur plus grand bien. La vie n'est pas si compliquée, elle nous apprend tout le temps pour notre bien. Dommage que nous soyons plus enclins à obéir à la société qui ne nous veut aucun bien qu'à la vie qui a tout à nous apporter pour peu qu'on sache reconnaitre sa sagesse. Ce n'est pas la vie qui est injuste au final mais nous qui ne nous aimons pas assez pour nous faire confiance.
Supprimer"....Ce n'est pas la vie qui est injuste au final mais nous qui ne nous aimons pas assez pour nous faire confiance."
RépondreSupprimertout à fait d'accord avec toi Ey@el ;-) .
Lùm